Travail sur l'urine Toeltius

Bonjour à toutes et tous,

j'ai commencé à travailler l'urine animale suivant le protocole décrit dans :

"Le ciel chymique ouvert" de J.G. Toeltius paru aux éditions Sesheta Publications.(2014)

Chapitre 38 page 210

"Maintenant je vais te révéler encore un mode court mais très secret de la VOIE DE L' URINE, lequel est amusant à réaliser"  

Les années passées, j' ai travaillé un sel issu du Sal Gemmae imbibé de rosée.
Du même auteur, la recette est satisfaisante. 

En fait l'ouvrage se présente comme un livre de recettes de cuisine, classé en fonction des différents règnes.

Connaissez-vous cet ouvrage ? Il pourrait être intéressant de la travailler un sympathie avec celle et ceux qui seraient intéressés.


je vous recommande cet ouvrage.

Bonjour Courtempierre

Oui je connais cet ouvrage.
Malheureusement la traduction laisse à désirer.
Il y a des erreurs et parfois même des contresens.

Désolé , je n'ai pas les compétences requises afin d'appréhender les erreurs de traduction et les contre sens.
Ce ne sont pas mes 4 années d'allemand 1ère langue qui pourront y remédier. Elles sont loin et du niveau lycée. Alors, je me contente de ce qui à le mérite d'exister. 

C'est à l'usage que serai en mesure de me prononcer. Toujours est-il qu'actuellement en dehors des grands classiques, B.Valentin par ex, je travaille "le ciel chymique ouvert", il me parle... c'est ainsi .

Cet ouvrage est intéressant.
Je fais partie de ceux qui en ont fourni plusieurs éditions à cet éditeur comme document de travail.
Je considère en effet qu'une traduction de cet ouvrage est intéressante car il offre un beau panel de pratiques spagyriques avancées. Le problème est que l'éditeur a fait traduire par une personne qui n'a aucune compétence en alchimie et que lui même n'en a aucune.
Personnellement je travaille de temps en temps sur des pratiques de cet ouvrage.

Bonjour
J'ai connu un alchimiste qui pensait trouver l'élixir dans l'urine.
Épouvantable et inutile travail. 
Hélas pour cet alchimiste car il est mort relativement jeune.
Ceci étant dans un coin reculé du pays ou je suis né on faisait boire la propre urine aux malades atteints d'une hépatite, connue à l'époque sous la dénomination de jaunisse. 
Mon beau frère en fut guéri.